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Plus de la moitié de la population belge a déjà donné son consentement pour l’échange sécurisé de ses données médicales avec les prestataires de soins. Une augmentation énorme en deux petites années.
Nous vous en parlions il y a quelques mois, le nombre de consentement éclairé ne fait qu’augmenter. En février 2017, 5 millions de Belges avait donné leur accord pour le partage de leurs données médicales entre leurs prestataires de soins. Aujourd’hui, ils sont plus de 6 millions ! Quand on compare à début de 2015, ils n’étaient que 35.000. Quelle avancée ! Car le consentement éclairé n’offre que des avantages.
Vos derniers résultats de prise de sang, vos radios, les médicaments prescrits… Toutes ces informations médicales vous concernant peuvent être partagées entre les prestataires de soins (médecins, infirmiers, personnel médical...) grâce à l’accord donné, le fameux « consentement éclairé ». Ces données leur permettent de poser plus rapidement un diagnostic correct et si nécessaire, débuter un traitement en évitant les doubles examens. Des économies en perspective tant pour le patient que pour la sécurité sociale.
Pour garantir la confidentialité, seuls les prestataires de soins avec qui vous avez une relation thérapeutique peuvent avoir accès à vos données. Et vous pouvez également en refuser l'accès à certains prestataires ou encore choisir de ne pas partager certaines informations par exemple.
1) Faites-le vous-même : surfez sur www.patientconsent.be et suivez les différentes étapes. N’oubliez pas votre carte d'identité électronique et votre code PIN.
2) Demandez à le faire pour vous. Les médecins, les pharmaciens et le personnel administratif à l’hôpital ou à votre mutualité peuvent s’en charger. Vous aurez également besoin de votre carte d'identité électronique et de votre code PIN.
Plus d'infos ?
Surfez sur www.patientconsent.be !
L’automne est de retour, apportant avec lui son lot de grisaille, de pluie et de froid. On passe naturellement plus de temps à l’intérieur, et les infections respiratoires comme le virus respiratoire syncytial (VRS) circulent plus facilement.
Lorsque l’on rencontre des difficultés psychologiques, la première étape consiste à en parler à quelqu’un. Le médecin généraliste, la famille, les amis, les personnes de confiance à l’école ou au travail peuvent apporter une aide précieuse.
Certains prestataires de soins ont l’obligation d’afficher le coût de leurs prestations. L’objectif de cette mesure est de vous donner, avant la prestation, une idée plus claire de ce que coûteront les soins, afin que vous puissiez, en tenant compte des conséquences financières, donner votre consentement à l'intervention du prestataire de soins.