Attention aux arnaques téléphoniques !
Des fraudeurs se font passer pour Partenamut ! N'effectuez jamais de mise à jour de votre dossier, de paiements de cotisation via Payconic, ou via un lien envoyé par sms. En savoir plus
Santé mentale des jeunes
Les jeunes sont particulièrement touchés par les troubles de la santé mentale. En pleine construction et fortement exposés aux informations anxiogènes (climat, mesures sanitaires, chômage, instabilité du monde…), ils expriment leur mal-être de différentes façons. Anorexie, dépression, cyberharcèlement, troubles psy, risque de suicide… Découvrez comment gérer ces situations, en tant qu’ado ou en tant que parents.
Quand on évoque la jeunesse, l’insouciance est souvent la première image qui nous vient à l'esprit. Pourtant, cette vision stéréotypée ne correspond plus vraiment à la réalité. En effet, une récente étude réalisée par Partenamut révèle qu’aujourd’hui, les jeunes sont plus soucieux de leur santé et de leur bien-être que la génération précédente.
Le harcèlement est présent partout, y compris en milieu scolaire. Il peut avoir de graves répercussions et doit être pris très au sérieux. Quels sont les signes qui doivent alerter ? Comment aider un enfant qui en est victime ? Pour tenter de comprendre ce phénomène inquiétant, nous avons interviewé Tatiana Djekic, psychologue et professeure agrégée en psychopédagogie.
Le constat est sans appel : les réseaux sociaux sont omniprésents dans notre quotidien, et plus particulièrement dans celui des ados. Snapchat, Instagram, YouTube, TikTok, … les médias centrés sur l’image ont la cote ! Leur utilisation chez les jeunes n’est pourtant pas sans danger. Comment les protéger des risques liés à ces médias ? Quel est l’impact sur leur santé mentale ? Focus sur un monde virtuel où tout est loin d’être parfait !
L’adolescence et le début de l’âge adulte représentent une période charnière dans la vie d’un être humain. Le corps et l’esprit sont en mutation, créant parfois une très grande confusion chez ces enfants poussés par la vie dans un monde qui n’est pas (encore) le leur. Nous avons choisi de mettre en lumière quelques-uns des écueils les plus fréquents auxquels ces jeunes peuvent être confrontés sur le plan de la santé mentale avec l’ambition de les aider, ainsi que leurs proches, à les surmonter.
Les troubles du comportement alimentaire (TCA) comme la boulimie nerveuse et l’hyperphagie boulimique (aussi simplement appelée hyperphagie) se déclenchent souvent tôt, parfois même durant l’enfance. Si elles présentent des caractéristiques différentes, ces deux maladies partagent un socle commun : une pulsion incontrôlable de manger. Souvent, ces troubles du comportement alimentaire sont le révélateur de troubles anxieux et nécessitent une prise en charge psychologique.
L’adolescence constitue parfois une importante zone de turbulences. Il arrive même que certains jeunes traversent d’immenses trous d’air et les services de pédopsychiatrie débordent régulièrement de patients qui souffrent de troubles du comportement alimentaire (TCA).
Le développement des nouvelles technologies et des réseaux sociaux a donné naissance à une nouvelle forme de harcèlement : le cyberharcèlement. S’il n’implique pas les violences physiques que l’on retrouve parfois dans le harcèlement classique en milieu scolaire, ses effets peuvent se révéler terribles pour la santé psychique des ados.
L’anorexie mentale est un trouble du comportement alimentaire qui concerne principalement les filles et se déclare dans la très grande majorité des cas durant l’adolescence. Elle nécessite une prise en charge médicale et l’implication de toute la famille.
Les scarifications sont des actes d’automutilation cutanée qui concernent principalement les adolescents, et même surtout les adolescentes. S’ils ne témoignent pas d’une volonté de mettre fin à ses jours, ils reflètent néanmoins un profond mal-être qu’il convient de prendre au sérieux. Véronique Delvenne, professeure de pédopsychiatrie à l’ULB et cheffe du service de pédopsychiatrie à l’Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola (HUDERF), nous éclaire sur ce phénomène.
Les troubles bipolaires se caractérisent, en phase aiguë, par une alternance d’épisodes dépressifs et maniaques avec une intensité émotionnelle très forte et parfois difficilement gérable. Véronique Delvenne, professeure de pédopsychiatrie à l’ULB et cheffe du service de pédopsychiatrie à l’Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola (HUDERF), dresse les contours de cette maladie dont les premiers signes peuvent survenir dès l’adolescence.
Plusieurs données le montrent, le nombre de tentatives de suicide au sein de la population jeune est en hausse depuis plusieurs années, tant en Belgique que dans d’autres pays industrialisés. Comment dès lors déceler le désarroi pouvant conduire à ce drame et quelles sont les mesures à mettre en place pour éviter le passage à l’acte ?