Recherches suggérées
Questions fréquentes
Recherches suggérées
Questions fréquentes
Les seniors sont particulièrement à risque de développer des troubles de la santé mentale. Cette fragilité peut s’expliquer par plusieurs facteurs comme l’isolement, le manque d’activité ou encore la perte d’autonomie. Heureusement des solutions existent. On fait le point.
On le sait, les seniors font partie des personnes les plus touchées par les troubles de la santé mentale. En cause, une société qui mise tout sur la jeunesse et qui a tendance à invisibiliser totalement les personnes dites « âgées » et à leur assigner des stéréotypes négatifs. Résultats, de nombreux seniors se sentent isolés, mis à l’écart, ils perdent confiance en eux et ont l’impression d’être inutiles. S’ajoute à cela l’apparition de problèmes de santé (forcément plus courants après 65 ans) et la perte d'autonomie qui viennent impacter encore un peu plus le moral. Face à cette situation, les mutualités ont un rôle à jouer. C’est en tout cas ce que pense Partenamut pour qui il est urgent d’inverser la tendance et de reconsidérer la place des seniors au sein de la société, notamment en favorisant leur autonomie et en leur permettant de reprendre la main sur leur santé. La mutualité travaille pour cela autour de 2 axes principaux : rompre l’isolement chez les seniors et permettre le maintien à domicile le plus longtemps possible.
Comment allez-vous vraiment ?
Faites le point sur votre santé mentale en répondant à notre test et trouvez des solutions adaptées à votre situation.
Garder une vie sociale stimulante lorsque l’on prend de l’âge permet de prévenir les troubles de la santé mentale. Pour permettre aux seniors de rester en contact avec le reste de la société, Partenamut propose de nombreux moments d’échanges ou d’évasion dédiés aux seniors. La mutualité s’associe régulièrement avec des partenaires spécialisés dans l’organisation d’activités culturelles et de loisirs comme l’ASBL Bras dessus bras dessous qui organise des activités intergénérationnelles, Alzheimer Belgique etc. Les membres peuvent ainsi participer à des activités diverses, gratuites ou à un tarif très réduit.
Pratiquer une activité physique est également un excellent moyen de préserver sa santé mentale. Gym, marche, yoga, natation… De nombreuses disciplines sont parfaitement adaptées aux seniors. Une initiative encouragée par Partenamut qui rembourse jusqu’à 90 €/an la pratique sportive (50€ pour l’inscription à un club de sport, 3x10 € pour l’inscription à des évènements sportifs et 10 € pour le test d’aptitude sportive).
Outre les moyens de prévention évoqués plus haut, il est essentiel de pouvoir aider les personnes fragilisées psychologiquement dès les premiers signaux d’alerte. Partenamut a pour cela mis en place un numéro gratuit d’écoute et de soutien psychologique (0800 88 080). Au bout du fil, des psychologues diplômés et expérimentés écoutent, conseillent et orientent les membres vers les solutions les plus adaptées à leur situation. La mutualité intervient aussi financièrement en remboursant les consultations chez un psychologue ou un psychothérapeute à hauteur de 20 € par séance (max.16 séances/an).
Rester chez soi le plus longtemps possible lorsque l’on avance en âge permet de conserver ses repères, de garder ses habitudes et d’évoluer dans un environnement familier. Beaucoup moins stressant qu’un placement en maison de retraite ou dans une structure médicalisée, le maintien à domicile est toujours la solution à privilégier. Mais elle est parfois difficile à mettre en place pour les personnes en perte d’autonomie qui nécessitent une prise en charge quotidienne. Dans ces situations, un aménagement du domicile est la plupart du temps nécessaire. La mutuelle joue ici un rôle important, notamment à travers son service social. Chez Partenamut, des assistants sociaux sont ainsi spécialement formés pour accompagner les personnes ou leurs aidants proches, les informer sur leurs droits et les aider dans toutes les démarches administratives liées à une perte d’autonomie. Le service social travaille avec de nombreux experts du maintien à domicile comme des ergothérapeutes qui analysent les besoins de la personne et répondent à toutes les questions sur l’aménagement et la sécurisation du lieu de vie ainsi que sur le choix des équipements techniques à installer. La mutualité intervient d’ailleurs dans la location ou l’achat de matériel médical spécialisé en offrant un service et des tarifs avantageux à ses membres. Pour les plus de 65 ans, Partenamut accorde en plus une prime de 350 € pour l’aménagement du domicile afin d’alléger un peu la facture.
Une fois le maintien à domicile rendu possible, des intervenants extérieurs vont forcément être amenés à se rendre au domicile de la personne (infirmier(ère), aide-ménagère, transport non urgent…). Là encore, les interventions de la mutuelle permettent d’alléger la facture.
La mutualité joue donc un rôle essentiel dans la prévention et la prise en charge de la santé mentale chez les seniors. En plus des interventions financières prévues, la mutuelle assure un suivi personnalisé informe et oriente les personnes dans leurs parcours de soins et leur propose des solutions adaptées à leur situation. Une aide précieuse et rassurante qui permet de faire diminuer le stress au quotidien.
L’assurance obligatoire rembourse les soins psychologiques de première ligne (soins de courte durée et/ou de faible intensité) ainsi que les soins psychologiques spécialisés (soins spécifiques pour les personnes souffrant d’une problématique psychique déjà identifiée). Les adultes ont ainsi droit à :
Les quotes-parts personnelles pour ces séances sont fixées à 11 €/séance individuelle (4 € pour les BIM) ou 2,50 € pour les séances de groupe.
Partenamut complète les interventions de l’assurance obligatoire avec des remboursements supplémentaires inclus dans sa couverture de base :
Découvrez les avantages psychologie en détails.
Les troubles bipolaires se caractérisent, en phase aiguë, par une alternance d’épisodes dépressifs et maniaques avec une intensité émotionnelle très forte et parfois difficilement gérable. Véronique Delvenne, professeure de pédopsychiatrie à l’ULB et cheffe du service de pédopsychiatrie à l’Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola (HUDERF), dresse les contours de cette maladie dont les premiers signes peuvent survenir dès l’adolescence.
La schizophrénie entre dans la catégorie des maladies mentales et se classe parmi les troubles psychotiques. Il s’agit d’une affection chronique nécessitant une prise en charge médicale adaptée, souvent en institution psychiatrique. Professeure de pédopsychiatrie à l’ULB et cheffe du service de pédopsychiatrie à l’Hôpital Universitaire des Enfants Reine Fabiola (HUDERF), Véronique Delvenne nous explique cette maladie et décrit la manière dont elle doit être prise en charge.
La pandémie que nous subissons depuis maintenant plus d’un an et demi a eu des conséquences sur la santé psychologique des belges. Un constat qui a amené l’INAMI, le SPF Santé Publique et les réseaux de santé mentale à prendre des mesures pour améliorer la prise en charge des patients en simplifiant dès cette automne l’accès aux soins psychologiques de première ligne.