Le cancer de la peau est l’un des plus fréquents en Belgique et le nombre de cas explose depuis quelques années. Des mesures de prévention permettent pourtant de limiter les risques de cancer, notamment en se protégeant du soleil dès le plus jeune âge. Voici les conseils du dermatologue Dominique Tennstedt.
Le cancer du foie n’a pas bonne réputation. En 2018, le taux de survie à 5 ans ne dépassait pas 25 %. Un dépistage précoce et une prise en charge rapide permettraient pourtant de guérir la plupart des malades. Professeur de gastroentérologie au CHU Sart-Tilman, Jean Delwaide pousse un vibrant appel en faveur d’un changement de notre mode de vie et d’un dépistage accru de la cirrhose.
Après 50 ans, un homme sur deux est confronté à un problème de prostate. Il s’agit le plus souvent d’une hypertrophie bénigne, un phénomène naturel qui s’amorce vers 45-50 ans. Principal symptôme : des troubles urinaires. Au-delà de 65 ans, les risques de cancer prostatiques augmentent. Le dépistage est donc essentiel pour une prise en charge rapide de la maladie.
Environ 2 500 cas de cancers de la vessie sont détectés chaque année en Belgique, ce qui classe cette maladie au 8e rang des cancers les plus fréquents dans notre pays. Le Dr Julien Van Damme, urologue aux cliniques universitaires Saint-Luc à Bruxelles, nous propose son éclairage sur cette question.
Le cancer du poumon est l’un des plus fréquents en Belgique. S’il reste la principale cause de décès par cancer chez les hommes, les traitements par immunothérapie constituent de réels motifs d’espoir.
Le cancer du sein est le plus fréquent en Belgique. Il touche chaque année plus de 10 000 personnes. Dans la très grande majorité des cas, il s'agit de femmes. Mais 1 cancer du sein sur 1 000 concerne un homme. Or, la plupart d’entre eux ne connaissent pas ce risque, ce qui retarde trop souvent la prise en charge.
Le cancer du sein est le plus fréquent en Belgique. D’après la Fondation contre le Cancer, il représente environ 15 % de l’ensemble des cancers dans notre pays. Avec un diagnostic précoce et une prise en charge rapide, les perspectives de guérison sont bonnes. Du dépistage aux traitements en passant par le volet psychologique, Partenamut a décidé d’aborder tous les angles de cette maladie pour répondre aux questions des patientes et de leurs proches.
La mammographie est, aujourd’hui, un examen courant et représente un atout majeur pour le dépistage précoce du cancer du sein en Belgique. Partenamut vous en explique le principe et vous donne quelques conseils avant de passer l’examen.
L'autopalpation est une technique simple et efficace pour apprendre à connaitre ses seins et détecter précocement une anomalie. En effet, pour déceler tout changement suspect, il faut d’abord pouvoir identifier ce qui est « normal » de ce qui ne l’est pas. Dans le cadre de notre campagne « Je pourrais l’avoir, je l’ai eu », Delphine Rémy partage son vécu face au cancer du sein et nous livre quelques conseils.