Le cancer de la peau est l’un des plus fréquents en Belgique et le nombre de cas explose depuis quelques années. Des mesures de prévention permettent pourtant de limiter les risques de cancer, notamment en se protégeant du soleil dès le plus jeune âge. Voici les conseils du dermatologue Dominique Tennstedt.
Le cancer du poumon est l’un des plus fréquents en Belgique. S’il reste la principale cause de décès par cancer chez les hommes, les traitements par immunothérapie constituent de réels motifs d’espoir.
Le cancer du sein est le plus fréquent en Belgique. D’après la Fondation contre le Cancer, il représente environ 15 % de l’ensemble des cancers dans notre pays. Avec un diagnostic précoce et une prise en charge rapide, les perspectives de guérison sont bonnes. Du dépistage aux traitements en passant par le volet psychologique, Partenamut a décidé d’aborder tous les angles de cette maladie pour répondre aux questions des patientes et de leurs proches.
Le cancer du sein est le plus fréquent en Belgique. Il touche chaque année plus de 10 000 personnes. Dans la très grande majorité des cas, il s'agit de femmes. Mais 1 cancer du sein sur 1 000 concerne un homme. Or, la plupart d’entre eux ne connaissent pas ce risque, ce qui retarde trop souvent la prise en charge.
Novembre est de retour, le mois où on se laisse pousser la moustache pour la bonne cause. L’idée derrière cette initiative est de sensibiliser à la santé masculine : cancer de la prostate et des testicules, santé mentale et suicide en particulier.
En 2016, plus de 65.000 Belges ont appris qu’ils devaient faire face à un cancer.
Chaque année, grâce aux progrès de la médecine, de plus en plus de patients apprennent aussi qu’ils en sont guéris.
Soutenir la recherche reste donc vital. C’est pourquoi soutenir différentes associations de lutte contre le cancer s’inscrit parfaitement dans les valeurs fondamentales de notre mutualité.
En Belgique, on recense chaque année 37 000 nouveaux cas de cancers de la peau. Majoritairement dus à une exposition excessive au soleil, ils pourraient dans 90 % des cas être évités. Voici quelques conseils pour y arriver.
Un nouveau projet pilote permettra bientôt d’analyser l’ADN d’un patient atteint du cancer pour découvrir quel traitement fonctionnera le mieux. Cette technique, jusqu’ici très coûteuse, sera désormais remboursée chaque année à environ 20 000 patients.
Les cas de cancer pédiatrique sont relativement rares : ils représentent actuellement 1% des cancers de la population. Toutefois, lorsqu’il frappe un enfant, la charge émotionnelle liée au cancer est particulièrement importante.